ADEVĂRUL MICROSOFT “MAIOR TOT SE VREA PRIM MINISTRU ŞI PREŞEDINTE … CĂ LA PUŞCĂRIE NU E BINE … SĂ SE DUCĂ COLDEA ŞI KOVESI, HOTĂRAN, ARTOPOLESCU ŞI LOPATAN … RUŞINICĂ BRE NEA INFRACTORULE MOYOR !

maior“Miza alegerilor de azi. George Maior a venit din America să ceară postul de premier, ce mesaj i-a transmis Iohannis”

Fostul director al SRI primise deja cu o zi înainte un mesaj din patea lui Klaus Iohannis, care a ţinut, prin intermediul consilierului prezidenţial Laurenţiu Ştefan, să îi reteze lui Maior gândurile de mărire. 

http://bn24.ro/miza-alegerilor-de-azi-george-maior-a-venit-din-america-sa-ceara-postul-de-premier-ce-mesaj-i-a-transmis-iohannis/

Maior – Vidoq – Coldea – Valjean – Kovesi  … Mama DNA si a Microsoft

Eugène-François Vidocq, né le 24 juillet 1775 à Arras[N 1] et mort le 11 mai 1857 à Paris[N 2], était un bagnard puis un policier français et enfin un détective privé.

Forçat évadé du bagne, il devient chef de la « brigade de sûreté ». À la tête de cette brigade, d’abord officieuse et qui devient par la suite le service de sûreté de la préfecture de police de Paris, ancêtre de la direction régionale de la police judiciaire parisienne, il est le père de la police judiciaire. Il est également le fondateur de la toute première agence de détectives privés de l’histoire.

Tilhari si asasini, informatori si sefi de servicii de siguranta, procurori si Maior si Coldea si Kovesi si Legiunea de Onoare si Prim Ministri si Ministri de Finante si Presedintele George Maior … in loc de Deţinutul Maior !

La « sûreté »

En 1809, il propose ses services d’indicateur à la police de Paris.

En 1811, le préfet le place officieusement (il ne le sera officiellement qu’une fois gracié en 1818) à la tête de la « brigade de sûreté », un service de police dont les membres sont d’anciens condamnés et dont le rôle est de s’infiltrer dans le « milieu ». Excellent physionomiste, il repère, même grimée, toute personne qu’il a préalablement dévisagée (ayant vu cette personne une fois, il la reconnaît au premier regard[2]). Il excelle lui-même dans l’art du déguisement.

Ses nombreux succès et ses méthodes peu orthodoxes[3] lui apportent autant d’admirateurs que de détracteurs. Ses hommes revendiquent trois fois plus de captures que les policiers classiques entre 1811 et 1827. Ces derniers tentent alors par tout moyen de déstabiliser Vidocq[4].

Image populaire de l’épisode de la forêt de Sénart.

Ses ennemis se trouvent dans la pègre mais aussi au pouvoir. Par deux fois, ses supérieurs le font démissionner. Plusieurs personnes arrêtées par Vidocq l’accusent d’avoir monté les coups pour ensuite arrêter ceux qui y ont participé et, de cette manière, prouver son efficacité dans la lutte contre le crime. La justice ne retient pas ces allégations, cependant Vidocq est démis de ses fonctions et remplacé par Allard. L’urbanisation, la constitution des classes laborieuses que l’on observe à la fin de la restauration transfère la peur du crime des zones rurales vers la ville.

Le Bureau de renseignements pour le commerce

En 1827, Vidocq démissionne de ses fonctions de chef de la « sûreté ». Il s’installe à Saint-Mandé, près de Paris, et crée une petite usine de papier. Il invente le papier infalsifiable. En 1828, il publie des Mémoires qui connaissent un grand succès, et qui inspirent notamment à Honoré de Balzac son personnage de Vautrin. Ruiné par son affaire d’usine de papier, il occupe à nouveau durant sept mois — à cinquante-sept ans — le poste de chef de la « sûreté » en 1832. Ensuite, il quitte définitivement le service public et fonde en 1833 le « Bureau de renseignements pour le commerce », la première agence de détectives privés, qui fournit aux commerçants, moyennant finance, des services de renseignement et de surveillance économique, ainsi que des informations sur les conjoints volages[5].

François Vidocq meurt à Paris des suites du choléra en 1857, dans sa quatre-vingt-deuxième année[6]. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise (tombe relevée)[7].